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Impératif français félicite André Dionne!

La Cour d’appel dénonce à sa façon le gouvernement du Canada et sa fonction publique fédérale pour leurs manipulations politiciennes infériorisantes et défrancisantes qui rendent quasi impossible pour les Québécois d’exercer, dans la réalité, leur droit « moins que symbolique » de travailler en français.

Depuis toujours, le gouvernement du Canada déploie toutes ses stratégies et ses nombreuses manipulations politiciennes pour que les Québécois ne puissent pas ou bien peu travailler en français!
La défrancisation et l’anglicisation des Québécois de toutes origines et des Canadiens « Français » prédominent et sont nécessaires afin de ne pas frustrer le Canada anglais et les anglophones de leur droit de travailler en anglais et ainsi de l’imposer partout, et cela de surcroît même au Québec!

Que feront dorénavant les Québécois et les Canadiens « Français »? Se feront-ils respectés ou continueront-ils à se laisser manger la laine (de mouton) sur le dos?

Impératif français invite donc tous les fonctionnaires fédéraux à ne communiquer qu’en français partout : réunions, courriels, correspondance, notes de service, études, rapports… mais encore plus lorsqu’il s’agit de communications avec les Canada anglais.

Le droit de travailler en français à Montréal reconnu en Cour d’appel fédérale

André Dionne, fonctionnaire fédéral
André Dionne, fonctionnaire fédéral

« Une institution fédérale bafoue le droit de ses employés de travailler en français si elle les force à communiquer chaque jour avec des spécialistes unilingues anglophones situés ailleurs au pays, tranche la Cour d’appel fédérale dans un jugement rendu mercredi.

Le fonctionnaire montréalais André Dionne a gagné sa bataille et pourra donc parler en français au sein du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). La décision pourrait avoir d’importantes conséquences dans le quotidien des employés francophones de la fonction publique fédérale, toujours plus nombreux à travailler à distance avec des collègues d’ailleurs au pays.

« [La totalité des] faits démontre que l’institution fédérale a manqué à l’obligation positive qui lui incombait de prendre des mesures permettant de créer et de maintenir un milieu de travail propice à l’usage effectif des deux langues officielles », peut-on lire dans le jugement de 57 pages signé de la juge Marianne Rivoalen. » (Extrait du Devoir)

La suite : https://www.ledevoir.com/politique/canada/622800/langue-le-droit-de-travailler-en-francais-a-montreal-reconnu-en-cour-d-appel-federale

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