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Un vrai zoo! L’apartheid granbyen se poursuit!

Je me suis rendu compte dernièrement lors de mon passage à Granby que cette ville avait adoptée le STOP comme affichage des arrêts à chaque coin de rues.
Je m’informe de la situation et je constate avec stupéfaction que cet anglicisme fait partie de notre langue depuis la fin des années 70.
Qu’à cela ne tienne, même si ce mot fait partie de notre chère langue, un individu, encore moins une municipalité comme Granby n’est obligée de l’adopter.
Je sais que vous êtes au courant pour avoir lu un article de journal de la ville de Granby où le Maire déclare que les STOP sont là pour y demeurer. Je ne comprends pas le laxisme des citoyens de cette ville sur ce dossier.
Que peut-on faire pour mettre de la pression sur ce dossier?

Paul Tremblay
Drummondville

Toujours d’actualité, voici ce que nous écrivions à ce sujet  :

L’apartheid granbyen
Granby choisit et défend ses préférences partitionnistes.

24 janvier 2016

STOP Panneau 2016Lorsque le gouvernement du Québec a exigé que tous les panneaux de signalisation STOP au Québec soient remplacés par des panneaux ARRÊT, son intention était évidente. Il voulait clairement indiquer à toutes et à tous, mais surtout aux visiteurs, touristes et immigrants que le Québec est un espace avec son identité et sa langue propres en Amérique puisqu’il est français.

Toutes les municipalités du Québec ont emboîté le pas, sauf celles aux profils d’apartheid partitionniste et suprémaciste anglophone, les villes des banlieux « ultra riches » anglophones de la région de Montréal. Elles ont violemment refusé et refusent toujours de reconnaître que le Québec est français. Le mot « ARRÊT » fait trop français, trop québécois pour elles! Elles ont même eu recours à leurs petits amis d’alors du Parti Libéral du Québec pour obliger l’OQLF à reconnaître que le mot « STOP » est français rendant ainsi légal leur apartheid suprémaciste. Ce sont ces mêmes villes qui ont refusé de nommer un lieu public du nom de René Lévesque. Apartheid et partition exigent, le boulevard René-Lévesque prend dans l’Ouest de l’île le nom de « Dorchester » qui « fut le deuxième gouverneur britannique de la Province of Quebec »!

Jusque là rien de trop étonnant puisque le rejet du Québec par une frange d’extrémistes anglophones n’étonne plus! Mais là où tout le monde sera davantage surpris, c’est d’apprendre qu’une ville francophone, la Ville de Granby, ait choisi, adopté et défend toujours ces préférences partitionnistes. Le quotidien local La Voix de l’Est

le confirme : « les conseils municipaux ont toujours favorisé l’utilisation du mot stop (« mot d’origine anglaise » refusant au fil des décennies, de façon même acharnée, le mot français « ARRÊT » utilisé pourtant partout au Québec!*) Plusieurs résolutions ont été adoptées à cet effet entre 1978 et 1993, même si elles allaient parfois à l’encontre des volontés du ministère des Transports du Québec »!

Granby - Ville rayonnante

Ville délinquante!

Quelques adresses utiles :

mairie@ville.granby.qc.ca
sgiard@ville.granby.qc.ca
jeanlucnappert0907@yahoo.ca
jbourdon@ville.granby.qc.ca

Pour les adresses de tous les membres du conseil municipal : http://www.ville.granby.qc.ca/fr/ville/nav/conseil/membres.html

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