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Un geste sauvage et violent à l’endroit du festival L’Outaouais en fête!

L'Outaouais en fêteExtrait du journal Le Droit :
Le président du festival L’Outaouais en fête (OEF), Jean-Paul Perreault, déplore la décision du Rockfest de déplacer l’événement durant la longue fin de semaine de la Fête nationale et demande aux organisateurs de «réviser» leur décision.
Le Rockfest Petite-Nation a annoncé sur son compte Facebook que la 11e mouture de l’événement se tiendra exceptionnellement cette année durant la quatrième fin de semaine de juin, du 23 au 26 juin, c’est-à-dire un week-end plus tard qu’à l’habitude. La grand-messe du punk-rock-métal se déroulera une fois de plus à la marina de Montebello.
Pour Jean-Paul Perreault, dont le festival se tient depuis 40 ans à ce temps précis de l’année, il s’agit d’une douche d’eau froide. La 40e programmation de l’OEF est aussi prévue du 23 au 26 juin 2016, au parc des Cèdres, dans le secteur Aylmer, à Gatineau.
«On a assez de subir les coupes du gouvernement et les effets secondaires du climat d’austérité et de morosité sans avoir à vivre une addition de situations difficiles causées par un partenaire qui choisit de tenir son événement à la même date qu’un festival qui existe en Outaouais depuis 40 ans», a vivement réagi M. Perreault. La suite ICI
OEF 2014 - foule
Appel au civisme de Culture Outaouais
RockFest 2015Extrait d’un autre article du journal Le Droit :
Alors que le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, s’insurge devant le fait que le Rockfest Petite-Nation présentera en 2016 sa grand-messe de la musique lourde au même moment que L’Outaouais en fête (OEF), du 23 au 26 juin, le président de Culture Outaouais, Özgen Eryasa, plaide pour la «bonne entente».
M. Eryasa souhaite demeurer neutre dans ce dossier, mais soutient tout de même que le principe de «civisme» devrait prévaloir entre les acteurs de la scène culturelle en Outaouais.
«Il n’y a pas d’exclusivité sur les dates, mais on ne peut pas ignorer ce qui se passe autour. Sans avoir d’obligation formelle, il y a certainement une obligation morale», a-t-il indiqué au Droit.
«Un sens du civisme suggérerait qu’on coordonne avec les autres événements ou que minimalement on en discute», a ajouté le président de l’organisme régional. La suite ICI

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