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Les contradictions de plus en plus fréquentes de l’OQLF et l’affaiblissement de nos droits!

OQLFVoir le surligné en rouge dans le texte suivant un extrait de la page d’accueil du site Web de l’OQLF à http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ et comparez-le au contenu de l’article du Droit  ci-dessous « Bataille linguistique sur Facebook: l’OQLF retire sa plainte »
Extrait du site de l’OQLF :
« Consommer à l’ère du Web et des médias sociaux

À l’heure actuelle, avec la multiplication des environnements commerciaux sur le Web, les consommateurs ont de nombreuses occasions de s’informer sur différents produits et services. Ils ont aussi la possibilité de faire aisément des achats en ligne. Peu importe le moyen auquel ils ont accès pour s’informer ou consommer, les Québécois et Québécoises préfèrent acheter en français, comme le prévoit d’ailleurs la Charte de la langue française.
Qu’il s’agisse d’une publicité commerciale imprimée ou diffusée sur un site Internet ou sur les médias sociaux, les entreprises établies au Québec doivent permettre aux consommateurs québécois d’obtenir de l’information en français sur leurs produits et services. Cela dit, les entreprises peuvent également utiliser d’autres langues en plus du français.
L’Office tient ainsi à rappeler qu’il est tout à fait naturel de vouloir vivre et consommer en français au Québec. » (OQLF)
C’est pourtant très clair. Il faut que ce soit en français!
 

Le journal Le Droit écrit dans l’article « Bataille linguistique sur Facebook: l’OQLF retire sa plainte »

« L’Office québécois de la langue française (OQLF) a retiré sa plainte visant une commerçante de Chelsea.
La propriétaire d’une boutique de vêtements, Eva Cooper, pourra continuer de privilégier l’anglais dans ses publications sur la page Facebook de son commerce, mais devra à tout le moins ajouter un mot en français. »
Dalilah« L’OQLF retire sa plainte » bien que l’on retrouve plein de publicités unilingues anglaises (sans français) dans la page Facebook du commerce en cause, Dalilah (in the Parc)! Poussant l’arrogance et l’exclusion plus loin, la page Facebook en cause regorge de commentaires francophobes et québécophobes!
De toute façon, sans égard à la loi ou à la Charte, tout commerce québécois habité par le respect et soucieux d’offrir un bon service à la clientèle aurait tout naturellement choisi d’afficher ses publicités Internet en français… mais pas la boutique Dalilah (in the Parc) de Chelsea!
L’OQLF ne cesse de s’écraser et avec lui, il nous écrase toutes et tous! Quant aux droits linguistiques fondamentaux des Québécoises et Québécois, ils sont de plus en plus éphémères… grâce à l’OQLF et au gouvernement!
Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Recherche et communications
www.imperatif-francais.org
Imperatif@imperatif-francais.org

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