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Fermer l’avenir aux jeunes anglophones!

PHOTO SARAH-MAUDE LEFEBVRE La présidente de la Commission scolaire English-Montreal, Angela Mancini, défend sa campagne de promotion du bilinguisme même si elle choque des membres de la communauté anglophone, qui déplorent l’absence de l’anglais sur l’affiche.
PHOTO SARAH-MAUDE LEFEBVRE
La présidente de la Commission scolaire English-Montreal, Angela Mancini, défend sa campagne de promotion du bilinguisme même si elle choque des membres de la communauté anglophone, qui déplorent l’absence de l’anglais sur l’affiche.

 

Le Québec étant français et désireux même de l’être davantage, il n’est donc pas étonnant de voir de plus en plus de parents anglophones inscrire leurs enfants dans les écoles de langue française.  Ils ont bien raison. Ce qui est étonnant, c’est de constater que cette tendance n’est pas plus répandue, n’est toujours pas un mouvement généralisé. Pourtant, c’est « gagnant »!

Le choix de ces parents anglophones est justifié par plusieurs très bonnes raisons comme ouvrir l’avenir à leurs enfants, améliorer leur qualité de vie, augmenter leur chance d’accès aux meilleurs emplois, participer à la création d’une belle culture à rayonnement international, se distinguer ou s’éloigner des valeurs étatsuniennes, participer au développement d’une autre vision, d’un autre modèle, offrir à l’Humanité la richesse d’une francophonie présente sur les cinq continents, ne pas rater le bonheur et le défi de créer en Amérique et dans le Monde un espace différent, s’opposer au nivellement culturel mondial, de la pensée et de la vision uniques… Mais aussi par des raisons de rapprochement et de cohésion sociale. Ils aiment le Québec  et veulent y vivre, y travailler, s’y divertir, y  bâtir leur avenir et encore plus celui de leurs enfants. Ils ne veulent pas déménager au Canada parce qu’on les aura privés ainsi que leurs enfants d’apprendre et de parler français. Aidons-les à gagner!

Mais le fanatisme, la francophobie, les passéistes,  les intolérants, les suprématistes, les extrémistes, quelques angryphones sont prêts à tout pour maintenir « leur contrôle » isolationniste sur leur communauté. Ils ne veulent pas voir affichés des mots en français dans leurs écoles anglaises.

Pour en savoir plus : Frustrés par un message unilingue…

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