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Le délire angryphone!

AngryphoneAlors que Montréal et l’ensemble du Québec se défrancisent et s’anglicisent à la vitesse grand V, un groupuscule de quelques angryphones en réclame davantage.
Au Québec et encore plus dans les grandes régions de Montréal et de l’Outaouais, c’est beaucoup plus de français qu’il faut! On y trouve encore de trop nombreux établissements, surtout commerciaux ou publics, où la langue d’accueil, de service et de travail n’est pas le français. Il est urgent que l’OQLF rétablisse et promeuve les recours citoyens par un mécanisme de plaintes digne de ce nom et intervienne régulièrement.
Tout le monde doit connaître et parler français au Québec, sinon l’apprendre. En plus d’être la langue nationale, le français est la langue commune d’usage public, la langue commune de la diversité, la langue de la cohésion et d’inclusion. Tout ce qui est en français s’adresse à tout le monde, sans exception.
Ces quelques angryphones font partie d’une infime minorité au profil francophobe puisqu’au Québec les statistiques démographiques indiquent qu’à peine 5 % de la population admet ne pas connaître le français.
Les entreprises du Québec qui font leur mise en marché uniquement en français choisissent de respecter leur environnement et encouragent la cohésion et le rapprochement de la diversité par la connaissance du français, la langue commune, que tout le monde doit connaître.
Au Québec, ce n’est pas le choix qui manque! Angliciser sa mise en marché et ses pratiques de commercialisation au Québec est un accommodement déraisonnable. Nous encourageons les clients à dénoncer ces pratiques d’isolement et de non-apprentissage de la langue française, grande valeur commune du Québec.
Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Recherche et communications

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