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TRAHIR SA LANGUE

Voici la preuve de ce dont je me plaignais récemment au sujet des jeunes Français qui débarquent ici. Et n’oublions pas aussi ces Français immigrants qui sont mal informés des us et coutumes des Québécois. La Délégation du Québec à Paris ne fait pas son travail. Elle attend toujours que la « torpille canadienne » soit sur sa rampe de lancement. C’est intolérable et scandaleux. Ils finiront par faire détester les Français, ce qui fait l’affaire des fédéraux et de leurs mercenaires québécois. Nous n’en finissons plus de tourner le sablier…
http://www.ledevoir.com/societe/education/333807/lettres-trahir-sa-langue

Qui faut-il dénoncer ? Je vous le demande…

Et ceux qui ont des tribunes à Paris parlent, parlent, jasent, jasent… Autrement dit, ils « perlent » avec les Parisiens.

Marie Mance Vallée
http://www.notrehistoire.net

Extrait de l’article du Devoir :

Lettres – Trahir sa langue

Thierry Priestley – Paris, le 15 octobre 2011  18 octobre 2011 

Je suis un Français de Paris et je lis ce jour dans le journal Le Monde un article sur «la ruée des étudiants français vers les universités du Québec» dont près de 20 % y choisiraient les cours dispensés en anglais tout en profitant des faibles coûts d’inscription réservés aux jeunes Québécois en application d’une convention franco-québécoise. Il est rapporté que certains professeurs francophones s’en indigneraient ainsi du reste que les autorités québécoises. Eh bien, en tant que Français, je me réjouis de cette indignation et de la menace de Mme Courchesne de revoir et corriger en conséquence ladite convention.

Mon souhait le plus cher est que le Québec renvoie dans leurs foyers ces jeunes, qui entendent profiter à bas prix de l’excellence des universités québécoises en trahissant la langue française que le Québec est le seul à défendre et qui est théoriquement la leur, pour se soumettre à la langue de leurs maîtres et de la haute finance mondialisée, en dignes petits-fils de leurs grands-pères pétainistes qui voulaient parler allemand pour être plus allemands que les Allemands pendant l’occupation nazie: il y a des traditions ici qui ne se perdent décidément pas.

Et si vous ne les renvoyez pas chez eux par pitié pour leur veulerie et leur bêtise, du moins ayez le bon sens de tripler leurs frais d’inscription: un tiers en plus comme étrangers et un tiers supplémentaire comme prix de leur trahison et de leur connerie.

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