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LE FESTIVAL MUSIQU’EN NOUS

Il faut tout mettre en œuvre pour conserver le fleuron qu’est

Musiqu’en nous

 

Montpellier — « Musiqu’en nous est un des fleurons culturels de l’Outaouais et il faut tout mettre en œuvre pour que ce festival se relève et poursuive ses activités, a déclaré l’éditeur des Écrits des Hautes-Terres, Pierre Bernier. Tous les intervenants doivent aider l’organisme à surmonter les difficultés financières dues à une année 2007 exceptionnellement difficile et à le relancer sur la voie de la rentabilité. »

Pierre Bernier a poursuivi en disant que le festival Musiqu’en nous est l’une des belles cartes de visite de l’Outaouais dans l’ensemble du Québec. Il augmente l’offre des services qui améliorent la qualité de vie chez nous, ce qui facilite la venue de nouveaux résidents et de travailleurs qualifiés dans une région rurale qui en a bien besoin. « Je ne connais pas un seul festival de ce type au Québec, même parmi les plus gros à Montréal, qui peut fonctionner sans subvention des organismes publics et para-publics de sa région, a poursuivi l’éditeur. Si Musiqu’en nous devait fermer ses portes, les probabilités qu’un autre festival essentiel de ce type le remplace en Outaouais rural au fil des années seraient presque nulles. La Conférence régionale des élus de l’Outaouais (CRÉ-O) devrait peut-être revoir sa politique de non-récurrence des subventions après trois ans pour ce type d’événement en milieu rural, quitte, après les trois premières années, à diminuer son engagement progressivement jusqu’à un certain plancher. »

Pierre Bernier a ajouté que, dans une région rurale peu densément peuplée, il ne faut pas s’attendre à ce que des événements de ce type ne puissent s’appuyer que sur des commanditaires privés. « Je sais que la classe politique, par l’intermédiaire de la MRC Papineau et de la CRÉ-O, a à cœur la survie de Musiqu’en nous, a-t-il conclu. Je sais aussi que le conseil d’administration de Musiqu’en nous fait tous les efforts possibles pour redresser la situation. Toute la bonne volonté est là pour que le festival réussisse à passer à travers cette année charnière et retrouve la voie de la rentabilité. La situation est exceptionnelle et il faut lui trouver une solution originale. »

Source :
Les Écrits des Hautes-Terres reçoivent l’appui du Conseil des Arts du Canada et de la Sodec.

Renseignements :
Pierre Bernier — 819 428-2337
; info@hautes-terres.qc.ca

Site web de Musiqu’en nous : musiquennous.ca

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