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LA POUTINE : DES EXCUSES INSUFFISANTES

Nous prenons bonne note des excuses (voir l’article ci-dessous de La Presse canadienne) de l’ambassade du Canada à Washington et du retrait de la photo de Samuel de Champlain tenant une poutine bien haut dans les airs, dans le site Web de l’ambassade du Canada à Washington, pour faire la promotion du 400e de Québec et de la Nouvelle-France. Mais ceci est bien insuffisant!

Nous remercions tous ceux et celles qui sont intervenus dans ce dossier et qui continuent de le faire, car la gravité de l’impair diplomatique du gouvernement du Canada nécessite des excuses officielles du Premier ministre du Canada à l’endroit de tous les Canadiens et de la Francophonie internationale. Pour le moment, ces excuses tardent à venir, ce qui ajoute à l’affront subi. Se font attendre aussi la démission du ministre canadien des Affaires étrangères du Canada et de l’ambassadeur du Canada aux États-Unis!

Quelques adresses utiles :

Stephen Harper
Premier ministre du Canada
Harper.S@parl.gc.ca

David Emerson
Ministre canadien des Affaires étrangères
Emerson.D@parl.gc.ca

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L’article suivant de la Presse canadienne est publié par Cyberpresse à l’adresse http://www.cyberpresse.ca/article/20080702/CPMONDE/80702212

« Champlain avec une poutine: l’ambassade canadienne s’excuse

La Presse Canadienne

L’ambassade du Canada à Washington s’excuse à l’endroit de ceux qui auraient été offensés par une publicité illustrant le fondateur de la ville de Québec, Samuel de Champlain, tenant une poutine bien haut dans les airs.

La publicité, conçue comme une invitation à un dîner, conviait le public à célébrer la fête du Canada le 1er juillet.

Le porte-parole de l’ambassade canadienne à Washington, Tristan Landry, assure que l’invitation a été modifiée et que l’intention de l’ambassade n’était pas d’offenser quiconque.

En entrevue à la Presse Canadienne, il a affirmé que le processus d’approbation pour les invitations à des événements avait été modifié, mais qu’à ce point, aucune sanction particulière n’était envisagée.

L’invitation publique de l’ambassade canadienne avait déplu au président de l’organisme Impératif français, Jean-Paul Perreault, qui y voyait une blague de mauvais goût.

Selon lui, jamais l’ambassade des États-Unis à Ottawa ne montrerait la statue de la Liberté tenant un hot-dog à la place de son flambeau. »

Fin de l’article

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