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CUIRE UN OEUF OU BALAYER LA RUE

COMPORTEMENTS

(Les cas exceptionnels ne sont pas tenus en compte dans ce texte)

Le français, langue commune et langue de convergence.

Afin de contribuer à faire du français, seule langue officielle du Québec, la langue commune, langue de convergence et de la citoyenneté, voici les comportements linguistiques que les différentes catégories de citoyens devraient avoir. Ces quelques suggestions, loin de vouloir être coercitives, devraient être interprétées comme coercitives par les différents groupes linguistiques intéressés au bien-être de la collectivité dans laquelle ils vivent.

Pourquoi?

La situation aberrante actuelle fait que la minorité anglophone qui est loin d’atteindre le 15% de la population du Québec, aidée par des apports venant des allophones qui ont tendance à grossir ses rangs, exerce une influence complètement disproportionnée par rapport à la place qu’elle occupe dans la société. En effet, anglophones et allophones réunis ne représentent même pas les 20% de la population de la province, mais exercent une influence égale ou même supérieure à celle des francophones qui sont pourtant les 80% ou plus du total (voir tableau 1).

Bien sûr que ni les anglophones ni les allophones ne sont pas spontanément près d’admettre ces faits ni ces proportions. Les raisons en sont que :

a) à l’échelle du Canada, les francophones sont en minorité.

b) Ils se disent qu’ils sont citoyens canadiens, qu’ils vivent « au Canada » et que conséquemment ils peuvent ignorer les désirs ou velléités des Québécois.

c) S’ils regardent les statistiques concernant uniquement l’île de Montréal (ce qui fait leur affaire, bien sûr), ils peuvent se dire qu’ensemble ils atteignent presque la moitié (46.8%). Dans cela ils omettent de souligner que le groupe anglophone comme tel reste excessivement minoritaire et que même si les allophones se joignaient tous à eux ce serait une manière artificielle pour essayer de faire paraître légitime ce qui ne l’est pas. Car l’île de Montréal est seulement une partie du Québec et ce qui compte est la totalité de la province. De plus, autre point important, qui a dit que les allophones devaient aller grossir les rangs des anglophones?

Au point (a) ils ignorent que cette minorité (les francophones) approche tout de même les 25% du total canadien (supérieure en pourcentage aux anglophones et allophones réunis au Québec) et, au point (b), qu’au Canada la langue est du ressort des provinces (du moins tant que le Canada ne se sera pas encore immiscé trop dans ce champ de compétence).

De la sorte, ce comportement aberrant ayant exercé ses ravages depuis des décennies déjà, le peuple majoritaire du Québec se voit privé de l’exercice normal de sa langue sur son territoire et se sent menacé dans son être.

Cet état de fait explique pourquoi au Québec il existe un fort mouvement sécessionniste qui, s’il arrivait à son aboutissement logique, permettrait enfin à son peuple de vivre comme tout peuple normal.

C’est jouer avec le feu que de se dire qu’ils ne réussiront pas à cause de deux référendums déjà perdus (1980 et 1995).

Si ce pronostic devait s’avérer juste je peux vous assurer que lorsque vos enfants seront grands, il sera désormais devenu très malsain de vivre ici, car le désespoir aura fait naître une guérilla terroriste qui mettra en péril la vie des civils.

Sans en arriver à fabuler sur ce qui pourrait ou ne pourrait pas arriver dans 25 ans, pourquoi n’envisagerions-nous pas de regarder si le comportement de ces minorités est de nature à permettre au peuple majoritaire de bénéficier de la simple justice?

Ce peuple majoritaire vivant dans la province du Québec a déjà été considéré, avec le reste des citoyens canadiens vivant en dehors du Québec, comme l’un des deux peuples fondateurs du Canada. Il y a quelques décennies de cela, on se gargarisait avec cette formule; « les deux peuples fondateurs ». On en voit encore les vestiges sur les billets de banque ainsi que dans une loi ainsi appelée « loi sur les langues officielles du Canada ». D’ailleurs encore maintenant si vous posez la question à un député fédéral il vous répondra que le Canada a deux langues officielles; l’anglais et le français.

Je ne veux pas prêter de mauvaises intentions au Canada en disant que subrepticement il vise à long terme à l’élimination d’une des deux langues et que cette langue sacrifiée sera le français. Cependant si nous regardons les statistiques officielles nous ne pouvons que constater que, si la tendance se maintient, dans quelques décennies les francophones du Canada seront devenus si minoritaires que le scénario apocalyptique mentionné plus haut sera devenu très vraisemblable.

Car ce ne sera pas seulement au Canada dans son ensemble que les francophones seront devenus très minoritaires au point de ne plus compter, mais au Québec même ils auront perdu la majorité.

On pourrait se mettre des oeillères et se dire qu’individuellement nous n’avons commis aucun crime. Si la conscience civique des citoyens canadiens est si faible je me pose la question pourquoi il y en a encore qui s’intéressent à l’environnement et à la protection des animaux…

Pour ce qui concerne les minorités ethniques, c. à d. les allophones, je me demande quel aurait été leur comportement si au lieu que d’avoir émigré dans la province du Québec ils avaient émigré dans une autre province; auraient-ils refusé de s’intégrer à la majorité linguistique de cette province?

Néanmoins, les minorités ethniques pensent quand même d’avoir de très bonnes excuses :

1) Elles ont été attirées par la minorité anglaise du Québec qui a tout fait pour se les « accaparer ».

2) Le Canada les a implicitement encouragées à adopter cette attitude puisqu’il ne les a jamais orientées vers les francophones.

Plus haut il est fait mention que le Canada a deux langues officielles; l’anglais et le français. Cette phrase, que malgré tout on entend encore, est souvent mal interprétée et conséquemment mal utilisée aussi bien par les allophones que par les anglophones.

Dans les deux cas, ces citoyens croient qu’ils ont le choix de la langue d’usage à un endroit quelconque du Canada et que, s’ils désirent obtenir un service quelconque, c’est leur droit de l’obtenir dans la langue de leur choix.

Erreur monumentale.

C’est une erreur monumentale et il est vraisemblable que ce soit cette erreur qui leur fait dire qu’ils ont le droit de choisir la langue de fonctionnement.

Et puisque leur choix tombe immanquablement sur la langue anglaise, ils croient qu’ils ont le droit de fonctionner en anglais, en citoyens à part entière, en ignorant le français même au Québec.

Il faut quand même une bonne dose de nombrilisme pour penser de cette manière. C’est comme dire que tous les citoyens sont égaux, sauf qu’il y en a quelques-uns qui sont plus égaux que les autres.

N’ont-ils jamais pensé que si la loi sur les langues officielles permettait à eux le choix, les francophones aussi devraient avoir le même droit et conséquemment si ces derniers choisissaient tout naturellement le français on se retrouverait devant les sempiternelles « deux solitudes » du Canada?

C’est l’éternel pari sur la quadrature du cercle. L’impossibilité que deux langues comme l’anglais et le français puissent coexister et s’épanouir sur le même territoire sans se nuire mutuellement. Certains seraient portés à me suggérer que c’était l’utopie à Trudeau. Ceux-là n’ont jamais compris que Trudeau ne voulait pas faire du Canada un pays aux citoyens bilingues, mais bien un pays aux institutions bilingues. Malheureusement, cela non plus n’a pas fonctionné excepté au Québec.

Mais alors?

Regardons ce qui se passe au Canada en dehors du Québec.

Nous pouvons aisément conclure que le français n’existe virtuellement pas excepté dans certaines agglomérations où les francophones « se serrent les coudes ». Même dans ces endroits les francophones sont fonctionnellement bilingues et utilisent l’anglais dès qu’ils sortent de leur groupe. Ailleurs au Canada il existe plusieurs citoyens qui à l’origine étaient francophones, mais qui désormais on peut les considérer comme assimilés à l’anglais. Oui, parfois ils parlent encore le français, mais à la prochaine génération c’en sera fini.

Serait-ce la condition normale pour les minorités que de s’intégrer à la majorité?

Qu’en pensez-vous?

Si vous répondez non je devrais vous entendre clamer ces choses :

q Que les francophones hors Québec sont en train de subir une injustice incroyable qu’il faut absolument corriger immédiatement.

q Que tous les citoyens canadiens doivent connaître à la perfection les deux langues officielles du Canada et les utiliser à tous les jours dans une proportion de 50% chacune chaque fois qu’ils parlent en dehors de leur famille.

q Que les Québécois eux-mêmes ont été victimes d’injustice et que ce nouvel état de choses, décrit au point précédent, leur donnera réparation.

Utopique n’est-ce pas?

Vous avez alors votre réponse.

N’essayons pas de prétendre qu’au Québec on puisse, sans injustice envers la majorité et sans préjudice pour sa langue, permettre à des gens de vivre en citoyens à part entière sans qu’ils aient une connaissance d’usage assez complète de la langue française. Je veux dire une connaissance telle qu’il n’aient pas besoin de recourir à d’autres langues pour comprendre ou être compris parfaitement.

Voici alors les suggestions que je fais aux différents groupes.

Anglophones :

à moins d’être certains que votre interlocuteur est une personne anglophone comme vous, vous devriez lui parler en français et, même si cette personne devait elle vous parler en anglais, vous devriez insister pour que ce soit en français que ça se passe. En d’autres mots, si vous voyez que votre interlocuteur par politesse ou autre aurait tendance à passer à l’anglais, votre sens civique devrait vous inciter à ne pas déroger de la bonne ligne de conduite. En d’autres mots, dites-lui de vous parler en français.

Vous êtes conscients que le comportement collectif séculaire de votre groupe linguistique en a été un de domination et d’hégémonie. Vous comprenez maintenant que la chose a assez duré et en bons citoyens soucieux de l’équilibre nécessaire à la paix mondiale vous voulez faire quelque chose pour rétablir la justice. Voici alors la meilleure occasion de prouver au monde entier que les anglophones du Québec sont de bons citoyens canadiens qui ne mettent pas en péril l’unité du Canada en ayant des comportements tels qui feraient que les citoyens francophones du Québec se sentent étrangers au Canada.

Par la même occasion, vous donneriez l’exemple aux autres anglophones du monde entier. Grâce à vous une fois de plus le Canada fera figure de navire de proue.

Allophones :

Le cas des allophones est à peine différent de celui des anglophones. Vous devriez parler en français à tout le monde; francophones, anglophones et allophones. Dans le cas assez rare où vous vous trouveriez à parler à quelqu’un qui parle votre langue, là il sera tout à fait normal que vous parliez dans cette langue. Mais si vous ne voulez pas utiliser votre langue, ce sera alors uniquement en français que vous devriez parler.

Si votre interlocuteur, anglophone, allophone ou même francophone, dans le courant de la conversation avait tendance à changer de langue, vous, en tant que bons citoyens soucieux d’établir les conditions optimales pour que la paix sociale soit durable, vous devriez le ramener sur le droit chemin.

Vous vous sentirez sûrement brimés dans ce que vous avez toujours cru comme étant votre droit. C’est seulement indirectement que vous en avez la responsabilité. Seulement à cause que vous n’avez pas pris la précaution de vérifier que votre position était la bonne et qu’inconsciemment vous aviez assumé une position qui, à votre insu, brimait les droits de la majorité. C’est ainsi qu’au lieu de vous intégrer au groupe francophone majoritaire vous aviez intégré la minorité anglophone économiquement puissante.

Mais malheureusement, c’est ce qui est arrivé et aujourd’hui votre réticence est compréhensible, mais votre refus de changer serait injustifiable.

Lorsque vous vous apercevez que, même involontairement, vous avez commis une erreur et à plus forte raison si cette erreur a causé un préjudice à autrui, vous seriez normalement disposé à la reconnaître et à la réparer.

Pourquoi devrait-il en être autrement dans le cas présent? Parce que la victime de votre erreur n’est pas une personne physique, mais bien un peuple entier?

Illogique!

Facile de changer? Pas du tout!

Mais l’effort que vous aurez fourni contribuera à produire des résultats dont vous pourrez être fiers.

Francophones :

Vous pensiez que, puisque vous en êtes les victimes, vous étiez innocents?

Pas tout à fait!

Bien sûr que le conquérant-colonisateur a eu sa grande part de responsabilité.

Mais lorsque pour l’une des raisons que j’énumère plus bas vous commencez par parler à votre interlocuteur en anglais ou, pire encore, s’il vous parle en français vous l’interrompez et lui parlez en anglais, votre responsabilité est grande.

Voici des exemples des raisons fallacieuses que vous seriez enclins à invoquer :

1) Vous sentez que vous avez affaire à quelqu’un qui n’est pas « québécois pure laine », donc il est anglophone ou intégré au groupe anglophone.

2) Par paresse

3) Par commodité

4) Pour paraître gentils ou accommodants. Ici vous faites une double erreur. Par exemple mon épouse qui ne sait même pas l’anglais, mais qui a un « méchant accent », est souvent confrontée à des gens (des caissières francophones, par exemple) qui lui adressent la parole en anglais. Pourquoi? Elles croient être plus gentilles ainsi. Par contre, elle se sent humiliée parce que c’est comme si elles lui disaient qu’elle ne s’exprime pas assez bien en français. Alors? Gentillesse?

5) Pour que ça aille plus vite.

6) Pour éviter les ‘arguments’.

7) Parce que vous avez entendu son accent qui n’est pas français.

8) Parce que la personne est d’une race autre que blanche.

9) Parce que vous vous êtes laissés convaincre que de toute façon il est « bon et nécessaire » de savoir l’anglais (Voir [*] plus bas la réponse à cela).

10) Pour leur prouver que vous êtes plus intelligents qu’eux puisque vous parlez leur langue et qu’eux ne parlent pas, ou pas assez bien, la vôtre.

11) Etc.

S’agit-il de comportements anodins qui ne portent pas à conséquence? Bien au contraire! Certains des effets pervers de cela les voici :

· Les anglophones en profitent pour dire que vous ne leur donnez pas la chance de pratiquer le français et jettent ainsi la faute sur vous. Indirectement vous les encouragez à continuer sans changer, perpétuant ainsi un état de fait que vous-mêmes vous déplorez.

· Vous donnez aux nouveaux arrivants l’impression qu’il n’est pas important d’apprendre le français. Ils restent donc avec l’impression qu’il est parfaitement correct d’ignorer le français et de s’orienter vers l’anglais. Pas surprenant qu’ils essayent par tous les moyens de contourner la loi et d’inscrire leurs enfants dans les écoles anglaises. Ici vous les mettez même devant une incertitude et ils ne comprennent pas comment il se fait que les lois votées par votre gouvernement les obligent à fréquenter l’école française alors que vous leur faites comprendre l’inutilité de cela.

· Vous ne nourrissez pas en vous-mêmes le sentiment d’importance de vous exprimer dans votre langue. Au lieu d’un sentiment de fierté, vous cultivez le sentiment que « l’autre » est plus important que vous, tout en maudissant votre sort.

[*] Est-il « bon et nécessaire » de savoir l’anglais?

Voici alors quelques idées préconçues qui servent à inculquer aux francophones que c’est : « bon et nécessaire » de savoir l’anglais :

o On entend souvent que savoir l’anglais est un ‘plus’. C’est une affirmation insidieuse, car elle contient une vérité et en même temps elle laisse sous-entendre que du fait que l’on connaît l’anglais il est tout à fait normal que de le parler, sans se poser de question, même aux minorités. à partir de là il est facile de se convaincre que de parler anglais à un interlocuteur « inconnu », c’est bien.

o Souvent on entend aussi que si on sort du Québec il faut savoir l’anglais. C’est une vérité partielle, mais est-ce pour cela que nous devrions parler anglais à nos minorités?

o Le Canada est un pays bilingue, donc il faut parler en anglais. Selon cette logique, bien sûr que les anglophones, eux, peuvent continuer de rester unilingues!

o Je leur parle en anglais pour pratiquer mon anglais. Comme si le fait de dire et répéter les quelques mots utilisés pour son travail donnait à quelqu’un une expérience de conversation en anglais!

Oui c’est : « bon et nécessaire » de savoir l’anglais comme il est « bon et nécessaire » de savoir l’espagnol, l’italien, etc.

Le problème n’est pas le fait de connaître l’anglais. C’est le fait que sous prétexte de « parler anglais pour soi-même » on permet à des minorités d’ignorer le français.

En effet, votre comportement en général doit changer du tout au tout pour ce qui concerne l’approche linguistique à avoir envers les anglophones et les allophones.

Car on pourra bien reprocher à ces groupes d’avoir de mauvais comportements, particulièrement aux anglophones leur tendance à l’hégémonie, mais si vous ne changez pas, vous avez aussi une grande part de responsabilité.

Savoir plusieurs langues et n’en parler qu’une seule. Quelques idées pour embêter les employeurs fautifs.

Savoir plusieurs langues c’est bien. Bien pour son propre bénéfice et pas pour celui des autres. Mais en parler une en particulier parce que c’est l’autre qui, directement ou indirectement, nous l’impose, c’est agir en esclaves.

Moi je connais plusieurs langues. Cette culture je l’ai acquise en faisant moi-même des efforts. Qui devrait en bénéficier sinon moi-même? Alors, ça doit être moi qui choisis la langue dans laquelle je veux communiquer.

Ici au Québec la seule langue officielle est, n’en déplaise à certains, le français.

C’est la seule langue, sauf exceptions, que je suis tenu de parler dans l’exercice de mes fonctions dans n’importe quel emploi que j’occupe.

Offres d’emploi illégitimes

Si nous examinons les différentes offres d’emploi, nous constatons souvent qu’on y demande le bilinguisme. On dit bilinguisme sans spécifier laquelle doit être l’autre langue outre la langue officielle et on sous-entend l’anglais, bien sûr! Mais quelqu’un qui saurait le français et le japonais serait bilingue et néanmoins l’employeur éventuel ne l’accepterait pas. Alors? Il semblerait que c’est les employeurs qui ne savent pas parler.

De toute manière, l’exigence de bilinguisme est abusive. La preuve de la nécessité de la connaissance d’une langue autre que la langue officielle incombe à l’employeur. Et il ne la fournit pas lorsqu’il fait son offre.

Mais ne vous êtes-vous jamais posé la question : « pour qui devrais-je être bilingue? ». Ce serait pour permettre à qui d’ignorer le français qu’on exigerait de moi de parler l’autre langue? à qui cherchez-vous de permettre de rester unilingue anglais?

Est-il nécessaire de parler l’anglais pour cuire un oeuf ou balayer la rue?

-*-*-*-XXX-*-*-*-

Proportions réelles en 2001 des anglophones, des allophones et des francophones au Québec. Statistique Canada, recensement 2001.

Le Québec

La région de Montréal

L’île de Montréal

Anglophones

8.3

12.8

17.7

Allophones

10.3

19.1

29.1

Francophones

81.4

68.1

53.2

Tableau 1

Et voilà.

Pierre Bianchi

La reproduction et la distribution de ce document sont fortement encouragées.

courriels : pierre34@sympatico.ca.

: pierre34@ssjb.com

Pierre Bianchi est un néo-Québécois qui a, depuis presque son arrivée en 1965, épousé la cause du peuple québécois.

Il a écrit trois textes et un tract.

L’ordre chronologique d’écriture de ces textes a été: 1-Antagonismes, 2-Comportements, 3-GRRR_les_anglophones. Le tract découle de ces textes.

NDLR – Les quatre articles de M. Bianchi sont publiés dans le site Internet d’Impératif français www.imperatif-francais.org avec les titres suivants :

MON PATRON NE PARLE PAS FRANÇAIS

Québec – Quels sont mes droits ?

ÊTES-VOUS FOUS ?

Québec – Choyer les anglophones !

CUIRE UN OEUF OU BALAYER LA RUE

Québec – La connaissance de l’anglais est requise.

LES PIRES ENNEMIS DU CANADA

Canada – Les pires ennemis du Québec!

(Le 21 décembre 2003)


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