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UN « DEVOIR » BILINGUE…!

Rogers

M. Bernard Descôteaux,
Directeur du journal Le Devoir

Re : « Rogers roule Le Devoir dans la farine »

Monsieur Descôteaux, je ne sais ce qui est le plus obscène : 

un Rogers qui méprise la langue française ou bien un Devoir qui se fait aveuglément complice de ces manières.

Incidemment, je me vois d’autant plus interpellée par ce texte, hautement pertinent, que cette bilinguisation tous azimuts de Rogers dans les espaces publics québécois (et francophones) m’aura depuis longtemps retenue (câble, internet, téléphonie, etc.) de contracter quelque lien que ce soit avec cette entreprise. Non, jamais je ne ferai affaire avec des gens aussi angloïsants que Rogers !

Non, mais quelle condescendance. Et quel mépris du Québec. C’en est dégoûtant !

Je suis extrêmement déçue, M. Descôteaux, que vous acceptiez, vous, directeur du « moins médiocre » de nos quotidiens québécois, un affront de cet ampleur.

Au point même de me donner envie de m’éloigner à tout jamais du Devoir. Et je ne blague pas, vous savez.

Aussi, en espérant vivement que vous saurez vous ressaisir rapidement, je vous souhaite tout de même, à vous personnellement, et au Devoir, une année pleine… d’avenir.

Bien que ce soit tout à la fois avec colère et une infinie tristesse que maintenant je vous laisse, monsieur, à votre réflexion.

Hélène Pisier
citoyenne québécoise

1er janvier 2013

ccImpératif-Français. Je désirais acheminer ce mot également à Rogers (https://www.rogers.com/web/content/contactus), mais comme sur cette plage numérique tout est conçu de manière à décourager l’usager ou le client (réel ou potentiel) à communiquer ses doléances, je m’abstiendrai. Décidément, chez Rogers on n’a jamais su ce que pouvait signifier le vocable « professionnalisme ». Et surtout pas en français.

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