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CONSTITUTION DE 1982 : CRIME POLITIQUE?

Crime politique dont il faille effacer les traces 

Signification et dangers de la réponse de Harper

Cette réponse du fédéral, de même que celle de la Cour suprême, bien qu’à un degré moindre, est en fait l’aveu qu’il y a autre chose et qu’on veut le cacher. Malgré les dénégations, le soupçon initial se change en quasi certitude. Il faut bien comprendre que c’est le fédéralisme lui-même, sous sa forme actuelle, qui est compromis à long terme. Comment peut-il maintenant se justifier honorablement au Québec, et comment le PLQ, en particulier, peut-il se dissocier de ce refus inqualifiable?

L’autre danger, c’est que les archives soient non seulement caviardées, mais aussi soustraites à la recherche, et même mutilées ou détruites vu qu’aucune instance indépendante ne peut en assurer le respect et l’intégrité. La Constitution de 1982 serait-elle un crime politique dont il faille, à tout prix, effacer les traces ?

Hubert Larocque, Gatineau. 

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