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ANGLAIS MUR-À-MUR À CHÂTEAUGUAY…

À : mairie@ville.chateauguay.qc.ca; ministre@mtq.gouv.qc.ca; ministre@mcccf.gouv.qc.ca; yfblanchet-drum@assnat.qc.ca

« Dimanche au soir à Châteauguay, les pieds pendants au bout du quai, je laisserai faire et je perdrai, le peu de français qui peut m’rester… »

Aurait pu chanter le fameux groupe Beau Dommage, du peu de fierté dont font preuve les habitants de la ville de Châteauguay et de leur mairesse.

Dommage, bien dommage, dans un Québec dont la Charte de la langue française nous garantit pourtant bien ce droit à l’utilisation du français partout. Or, il semble désormais que cette Charte ne vaille guère plus que le papier sur lequel elle est couchée, la pauvre.  La Charte de la langue ne serait à touts fins utiles que des mots, encore des mots, des vains mots peut-être? Des mots dont une grande majorité d’anglophones à Montréal, à Châteauguay, dans NDG encore, n’auraient que faire et dont ils pourraient parfaitement se passer pourrait-on voir…

Quel troublant constat pour tout québécois/québécoise ‘pure laine’ et francophone dont je fait partie, d’assister à une telle assimilation.  Une anglicisation galopante est en train de faire des ‘parlant français’ – dont je suis toujours à ce jour – les parias du Québec, du Canada. 

Il nous faut absolument décrier haut fort l’arrogance muette d’un gouvernement, d’un Pierre Moreau, d’une Nathalie Simon, d’une Christine Saint-Pierre, de l’Office québécois de la langue française, n’osant dénoncer, semblant ignorer les appels à la vigilance, à la dénonciation du non-respect de la langue française partout au Québec, et principalement dans la région de Montréal, les appels inlassables disais-je, de l’organisme Impératif-français et de son président Jean-Paul Perreault.

Monsieur, mesdames, j’aime/j’ose croire qu’on vous ait élus, parce qu’on vous croyait capables de faire une différence dans notre belle société québécoise et francophone de « plein droit ». 

Puis-je me permettre d’ajouter que vos ambitions politiques ou personnelles, ou par trop serviles encore devant l’électorat anglophone, vous rejoindront bien un jour, cela soit dit bien « en tout bien tout honneur ».

Lucie Dumouchel
Gatineau (Québec)

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